Bénéficiez de notre panorama d’aides financières pour investir en cybersécurité et IA
La menace cyber en tête des risques pour les entreprises françaises
Pour la quatrième année consécutive, les incidents cyber se hissent en tête des préoccupations mondiales, avec une marge plus importante que jamais (+7 points de pourcentage). Ce fléau touche particulièrement des pays comme la France, les États-Unis, l’Allemagne et l’Inde, où il est perçu comme le danger numéro un. (source : Baromètre des risques Allianz 2025)
Parmi les menaces cyber les plus redoutées :
- Les violations de données (citées par plus de 60 % des répondants) ;
- Les attaques contre les infrastructures critiques et les biens physiques (57 %).
Certains secteurs d’activité sont particulièrement vulnérables, notamment l’aviation, la chimie et le divertissement, où le risque cyber est désormais perçu comme la principale menace. Les services financiers, les télécommunications et le secteur juridique figurent également parmi les plus exposés.
« L’essor rapide de l’intelligence artificielle (IA) a amplifié la menace cyber, qui dépasse aujourd’hui largement tous les autres risques. La panne CrowdStrike de l’été 2024 a rappelé l’impérieuse nécessité de systèmes informatiques sécurisés et indépendants », souligne Rishi Baviskar, directeur mondial du conseil en risques cyber chez Allianz Commercial.
La directive NIS 2 : un renforcement de la cybersécurité européenne
Face à l’augmentation des risques cyber, l’Union Européenne a adopté la directive NIS 2, qui vise à renforcer la cybersécurité des infrastructures critiques et des entreprises stratégiques. En cours de transposition au sein du Parlement français, cette directive impose des exigences accrues en matière de gouvernance et de gestion des incidents cyber, avec des obligations pour un nombre élargi d’organisations, incluant désormais des secteurs comme les télécommunications, l’énergie, la santé et les administrations publiques.
Les principales évolutions de NIS 2 comprennent :
- L’élargissement du champ d’application aux entreprises et organisations critiques ;
- Des obligations accrues en matière de cybersécurité et de gestion des incidents ;
- Des sanctions renforcées en cas de non-conformité ;
- Une coopération plus étroite entre les États membres pour répondre aux menaces transfrontalières.
L’objectif est de mieux protéger les entreprises contre les violations de données et les attaques visant les infrastructures critiques, qui figurent parmi les risques les plus préoccupants identifiés en 2025.
Vers un investissement croissant dans la résilience
Face à ces risques croissants, il est important que les entreprises revoient leurs stratégies et investissent dans des infrastructures sécurisées et flexibles. Qu’il s’agisse de cybersécurité, de plans de continuité d’activité ou de diversification des chaînes d’approvisionnement, une approche proactive s’impose pour limiter les impacts financiers et opérationnels.
Pour accompagner les entreprises dans ces investissements, des aides financières sont mises en place par l’État et les institutions européennes. Ces dispositifs visent à soutenir les organisations dans le renforcement de leur cybersécurité, l’amélioration de leur résilience face aux interruptions d’activité et la prise en compte de l’IA dans leurs processus métiers.
Le paysage des risques évolue rapidement, et les entreprises qui sauront anticiper et s’adapter aux nouvelles menaces seront les mieux armées pour assurer leur pérennité en 2025 et au-delà.
A cette fin, Hexatrust, a réalisé, pour la 3ème fois, un panorama des aides financières pour accompagner ceux qui sont dans une démarche de renforcement de leur sécurité numérique.
Prévenir Coûte Moins Cher que Guérir
Dans un contexte où les cyberattaques et interruptions d’activité entraînent des coûts de plus en plus élevés, investir dans la prévention s’avère bien plus économique que de gérer les conséquences d’une crise. Une violation de données ou une attaque ciblée peut engendrer des pertes financières massives, nuire à la réputation d’une entreprise, engendrer des coûts juridiques et réglementaires conséquents, voire entraîner sa fermeture.
Les entreprises qui adoptent une démarche proactive en matière de cybersécurité, de continuité d’activité et de gestion des risques minimisent leur exposition et réduisent significativement les coûts liés à la remédiation. La mise en place de stratégies de prévention robustes, appuyées par des aides financières et un cadre réglementaire renforcé, est donc un investissement stratégique pour assurer leur compétitivité et leur résilience à long terme.
Pour ceux qui souhaitent se lancer dans une démarche mais qui ne savent pas comment démarrer, le nouveau service Hexadiag peut apporter une grande aide.
